lundi 18 octobre 2010

Vous êtes encore là ?

Rentrée en fête, rentrée tonique et explosive. Tout était au rendez-vous, les sourires heureux de se revoir, près pour affronter notre première S. On était pas tout à fait près a avoir autant de travail en fait. Objectif, bac français. Eh ! On va tout défoncer, parce que nous sommes des fou dans notre tête.
Oui oui je sais bien qu'on est le 18 octobre et que dans 3 jours 22h et 17 minutes nous seront en vacance, et moi, je vous parle de la rentrée ? Bas juste un peu décalée et puis pourquoi pas ? Tout ça pour dire que cette classe, je l'aime. Ils sont tous bizarre et formidable à leur manière, ils sont... Incroyable ?

vendredi 20 août 2010


"Je suis triste d'être loin de toi..."
"On aurai peut être pas du se rencontré..."

Non... Ne dis pas ça... Tu es là plus belle chose qui me soit arrivé. Tu m'as redonné envie de vivre. Avant, j'aurais pu me faire écraser par un bus, que ça ne m'aurais ni chaud ni froid. Alors que aujourd'hui, je ne voudrais pas du "paradis" si tu n'es pas avec moi. Je suis triste d'être loin de toi, c'est évident, mais je ne regrette pas d'être tombé amoureuse d'un homme aussi extraordinaire que toi. J'attendrais, j'attendrais les années qu'il faudra pour pouvoir te voir chaque matin. Eddy, je t'aime. Je t'en prie... Ne mets pas un terme à notre histoire parce que tu penses que je serais plus heureuse sans toi. Mes larmes ne s'arrêtent pas de couler... Pourquoi c'est si compliqué d'aimer ? Pourquoi tout devient compliqué quand on mêle l'amour avec la distance ?

"Loin des yeux, loin du coeur"

Quel dicton de merde. Je m'en vais leur faire avaler leur dicton à la noix. On attendra le nombre d'années qu'il faudra pour pouvoir se voir tous les jours, pour pouvoir vivre ensemble... Nous prouverons au monde entier que notre amour était plus fort que 600km. Je ne m'avance pas dans mes dire, je suis convaincue de tout ce que j'ai dis au dessus. Je l'aime.

"Et si tu n'existais pas, dis-moi pourquoi j'existerais. Pour traîner dans un monde sans toi, Sans espoir et sans regrets. // Et si tu n'existais pas, Je ne serais qu'un point de plus dans ce monde qui vient et qui va,
Je me sentirais perdu, J'aurais besoin de toi."
Joe Dassin

Nous sommes le vendredi 20 Août il est 21h51 et je me fais chier.
Je me suis mis du vernis au pied en écoutant du Joe Dassin, d'ailleurs ça fait pile 30 ans qu'il est partit. Paix à son âme. Demain je pars pour l'Aquitaine, j'espère que je vais m'amuser, ainsi la semaine passera vite. En réalité, j'espère que le temps jusqu'au prochaine vacance passeront vite. Sinon j'ai voulu regarder un film pour faire passer la soirée, j'avais opté pour "Lost in Translation" mais, au bout de 45 minutes de film j'en ai eut ma claque. L'avez-vous vu ? Suis-je la seule à mettre fait chier devant ? Ou alors c'est parce que ce soir j'ai envie de rien ?
Oh et puis j'écris mal. Je suis laide et chiante quand je suis mélancolique. Mélancolique ? Est-ce le bon mot ? Ne serais-ce pas tout simplement triste ? Oui. Oui je suis triste.
Je ne suis qu'une pauvre idiote de plus dont les larmes coulent le long de son visage dans un transport en commun. Ma gorge se serre, mon coeur à envie d'exploser, mais seule une larme un peu plus forte que les autre s'échappe de mes yeux humides.
"Alors ne te plaints pas". C'est ce que Mayu m'a dit quand je lui ai dit que j'étais avec Eddy. Je m'applique à respecter ces mots... Mais bordel de merde, ce que c'est dur. Je craque. Il faut bien que ça sorte parfois non ?

Je vais m'arrêter ici avant de prendre la tête aux lecteurs courageux.
Ce que c'est hideux la tristesse.

dimanche 1 août 2010

Elle portait un gilet noir... Mais elle jouait du violon. Elle avait du charme, et un sourire étrange... Ceux que les peintres donnent aux anges. L'archet glissait le long des cordes créant la musique qui berce les Dieux.

Elle releva les yeux et croisa mon regard perdu. Elle me sourit. Là, j'ai su que je ne pourrais plus jamais me passait d'elle. Je ne connaissais ni son nom, ni ses goûts mais, je savais que j'allais passé le restant de ma vie à ses côtés. Elle s'arrêta de jouer et, s'aventura dans ma direction, mon coeur était en perdition.

« Aimeriez-vous prendre un café ? »

- Et bien... Euh... Oui avec plaisir. »

vendredi 30 juillet 2010

Quatre heur cinq, c'est le temps depuis qu'il est monté dans le train pour repartir a 591km de Strasbourg. Environs 4h de train. D'ailleurs il va bientôt repartir de chez lui, alors qu'il n'est même pas encore arrivé à l'heur où j'écris, pour Quiberon. Un endroit paradisiaque où malheureusement, je n'aurais pas accès cette année. Peut être l'année prochaine.
Le soleil est revenu sur l'Alsace. Je vais profiter de ses beaux raillons pour essayer de peindre un peu cette semaine. Histoire que avant de mettre le pied dans la péniche j'ai fais un petit tableau dont je serais plus ou moins fiers. Oui parce que du sept au quatorze Août, Flo embarque pour une nouvelle aventure ! " La péniche infernal de la mort qui tue tout ! " Bon bon j'en fais peut être un peu trop mais... Ca vas être de la bombe =D
Sinon cette semaine avec Eddy on a cuisiné. Et oui parce que nous on est pas des tapettes, on cuisine héhé. Donc bas mon petit carnet de recette
commence doucement à bien se remplir. Je suis assez contente de moi, je gagne des niveaux en cuisine. Pour le camp péniche d'ailleurs je l'emmène pour le plaisir de vos délicates papilles gustatives. Par contre quelqu'un se charge des recettes salées ? Bas oui... Je suis une grande sucrée moi... Vous vous doutez bien que mon carnet de cuisine et en réalité... Un carnet de dessert =D Grande gourmande je suis.
Je ferais certainement un futur articles avec la liste des recettes présentes dans mon petit carnet rouge et noir. En attendant voici une photo de nos sablés au coeur de myrtille.